À propos de DenisdeFrance

Cet auteur n'a pas encore renseigné de détails.
Jusqu'à présent DenisdeFrance a créé 216 entrées de blog.

La vie ne m’apprend rien – Soprano

Jolie reprise du jeune rappeur Soprano lors de l’émission Taratata. Une belle chanson de Daniel Balavoine « La vie ne m’apprend rien ».

la vidéo est ici


La vie ne m’apprend rien (1980)

Qui ose dire qu’il peut m’apprendre les sentiments
Ou me montrer ce qu’il faut faire pour être grand
Qui peut changer ce que je porte dans mon sang
Qui a le droit de m’interdire d’être vivant
De quel côté se trouvent les bons ou les méchants
Leurs évangiles ont fait de moi un non croyant

La vie ne m’apprend rien
Je voulais juste un peu parler, choisir un train
La vie ne m’apprend rien
J’aimerais tellement m’accrocher, prendre un chemin
Prendre un chemin

Mais je n’peux pas, je n’sais pas
Et je reste planté là
Les lois ne font plus les hommes
Mais quelques hommes font la loi
Et je n’peux pas, je n’sais pas
Et je reste planté là

A ceux qui croient que mon argent endort ma tête
Je dis qu’il ne suffit pas d’être pauvre pour être honnête
Ils croient peut-être que la liberté s’achète
Que reste-t-il des idéaux sous la mitraille

Quand les prêcheurs sont à l’abri de la bataille
La vie des morts n’est plus sauvée par des médailles

La vie ne m’apprend rien
Je voulais juste un peu parler, choisir un train
La vie ne m’apprend rien
J’aimerais tellement m’accrocher, prendre un chemin
Prendre un chemin

Mais je n’peux pas, je n’sais pas
Et je reste planté là
Les lois ne font plus les hommes
Mais quelques hommes font la loi
Et je n’peux pas, je n’sais pas
Et je reste planté là

Je n’peux pas, je n’sais pas
Et je reste planté là
Les lois ne font plus les hommes
Mais quelques hommes font la loi
Et je n’peux pas, je n’sais pas
Et je reste planté là

La vie ne m’apprend rien

Par |2016-08-31T12:58:27+00:00janvier 29th, 2016|Blog, Musique|0 commentaire

Caroline – Soprano et Grand Corps Malade

Soprano et Grand Corps Malade ensemble pour une bonne reprise de la chanson « Caroline » de MC Solar (excellent texte!).la vidéo icile texte ci-dessous:


Caroline

J’étais cool, assis sur un banc, c’était au printemps
Ils cueillent une marguerite, ce sont deux amants
Overdose de douceur, ils jouent comme des enfants
Je t’aime un peu, beaucoup, à la folie, passionnément
Mais à la suite d’une douloureuse déception sentimentale
D’humeur chaleureuse je devenais brutal
La haine d’un être n’est pas dans nos prérogatives
Tchernobyl, tcherno-débile ! jalousie radio-active
Caroline était une amie, une superbe fille
Je repense à elle, à nous, à nos cornets vanille
A sa boulimie de fraises, de framboises, de myrtilles
A ses délires futiles, à son style pacotille

[Refrain]

Je suis l’as de trèfle qui pique ton coeur
L’as de trèfle qui pique ton coeur
L’as de trèfle qui pique ton coeur
L’as de trèfle qui pique ton coeur, Caroline

Comme le trèfle à quatre feuilles, je cherche votre bonheur
Je suis l’homme qui tombe à pic, pour prendre ton coeur
Il faut se tenir à carreau, caro ce message vient du coeur
Une pyramide de baisers, une tempête d’amitié
Une vague de caresse, un cyclone de douceur
Un océan de pensées, Caroline je t’ai offert un building de tendresse
J’ai eu une peur bleue, je suis poursuivi par l’armée rouge
Pour toi j’ai pris des billets verts, il a fallu qu’je bouge
Pyromane de ton coeur, canadair de tes frayeurs
Je t’ai offert une symphonie de couleurs
Elle est partie, maso
Avec un vieux macho
Qu’elle avait rencontré dans une station de métro
Quand je les vois main dans la main fumant la même mégot
Je sens un pincement dans son coeur, mais elle n’ose dire un mot

[Refrain]

Claude MC prend le microphone genre love story ragga muffin
Pour te parler d’une amie qu’on appelle Caroline
Elle était ma dame, elle était ma came
Elle était ma vitamine
Elle était ma drogue, ma dope, ma coke, mon crack
Mon amphétamine, Caroline

Je repense à elle, femme actuelle, 20 ans, jeune et jolie
Remets donc le film à l’envers, magnéto de la vie
Pour elle, faut-il l’admettre, des larmes ont coulé
Hémorragie occulaire, vive notre amitié
Du passé, du présent, je l’espère du futur
Je suis passé pour être présent dans ton futur
La vie est un jeu d’cartes
Paris un casino
Je joue les rouges… coeur, Caro

Par |2016-08-31T14:03:15+00:00janvier 29th, 2016|Blog, Musique|0 commentaire

Ton visage – Fréro Delavega

Nouveau single des « Fréro Delavega », de plus en plus populaires. Une petite musique qui reste dans la tête!


Ton visage

Quand en ville, le grain se lève,
Vent de nerf agité,
Que s’éternisent les rêves,
Dans ma réalité.
J’veux des balades sur la grève,
Oh, un peu d’humanité.
Moins de béton plus de trêve,
Une vie de qualité,
Moins de bétons plus de rêve
Dans ma réalité.

(refrain)

Que n’ai-je une planche de salut ?
Loin du métro, de son raffut,
Les yeux rivés sur le rivage,
Oublié ton lointain visage.
Que n’ai-je une planche de salut ?
Loin du métro, de son raffut,
Les yeux rivés sur le rivage,

Oublié ton lointain visage.

J’veux des larmes, qui ne coupent pas,
Et moins de peine en 4 par 3,
Un bonheur simple, mais à mon goût,
C’est un peu vrai mais ça fait tout.
J’veux plus de houle dans mon écume,
Et moins de foule dans mon bitume,
Ces petite choses qui n’ont au clair
De sens qu’une fois qu’on les perd
Ces petite choses qui n’ont au clair

De sens qu’une fois qu’on les perd.

(refrain)

Que n’ai-je alors une planche de salut ?
Pour chevaucher mon vague à l’âme
Bel océan, brise-talus
Pour sécher le sel de mes larmes.

(refrain)

 

une jolie vidéo

Par |2016-08-31T14:04:09+00:00janvier 29th, 2016|Blog, Musique|0 commentaire

Les mots bleus – Bashung

À la demande de Jaap, un des plus fidèles participants à mes cours et grand amateur du regretté Alain Bashung, ci-dessous encore une fois sa version si particulière de la chanson « Les mots bleus » de Christophe.


Il est six heures au clocher de l’église
Dans le square les fleurs poétisent
Une fille va sortir de la mairie
Comme chaque soir je l’attends
Elle me sourit
Il faudrait que je lui parle
A tout prix

Je lui dirai les mots bleus
Les mots qu’on dit avec les yeux
Parler me semble ridicule
Je m’élance et puis je recule
Devant une phrase inutile
Qui briserait l’instant fragile
D’une rencontre
D’une rencontre

Je lui dirai les mots bleus
Ceux qui rendent les gens heureux
Je l’appellerai sans la nommer
Je suis peut-être démodé
Le vent d’hiver souffle en avril
J’aime le silence immobile
D’une rencontre
D’une rencontre

Il n’y a plus d’horloge, plus de clocher
Dans le square les arbres sont couchés
Je reviens par le train de nuit
Sur le quai je la vois
Qui me sourit
Il faudra bien qu’elle comprenne
A tout prix

Je lui dirai les mots bleus
Les mots qu’on dit avec les yeux
Toutes les excuses que l’on donne
Sont comme les baisers que l’on vole
Il reste une rancœur subtile
Qui gâcherait l’instant fragile
De nos retrouvailles
De nos retrouvailles

Je lui dirai les mots bleus
Ceux qui rendent les gens heureux
Une histoire d’amour sans paroles
N’a plus besoin du protocole
Et tous les longs discours futiles
Terniraient quelque peu le style
De nos retrouvailles
De nos retrouvailles

Par |2016-08-31T12:59:38+00:00janvier 18th, 2016|Blog, Musique|0 commentaire

Kendji Girac – Les yeux de la mama

Il s’est fait connaître grâce à l’émission « The Voice ». Il est d’origine gitane et il est actuellement très populaire, surtout chez les jeunes filles qu’il fait complètement craquer ! Ci-dessous son dernier succès en date, une chanson pour sa maman, la mama !

Les yeux de la mama

Quand j’ai froid elle se fait lumière,
Comme un soleil dans l’existence,
Quand j’ai mal elle se fait prière,
Elle me dit tout dans un silence,
Quand je souffre elle souffre avec moi,
Quand je ris elle rit aux éclats,
Mes chansons sont souvent pour elle,
Elle sera toujours ma merveille.

Quand je n’suis pas à la hauteur,
Elle m’élève plus haut que le ciel,
Elle est la splendeur des splendeurs,
Elle est la sève elle est le miel,
C’est son sang qui coule dans mes veines,
Et des souvenirs par centaines,
Berce mon cœur de mille étoiles,
Elle est ma quête elle est mon graal.

Oh mon dieu laissez-les moi,
Les beaux yeux de la mama,
Enlevez-moi même tout le reste,
Mais pas la douceur de ses gestes.
Elle m’a porté avant le monde,
Elle me porte encore chaque seconde,
Elle m’emportera avec elle,
Je lui serai toujours fidèle.

Quand je me blesse elle est douceur,
Comme une caresse dans l’existence,
Quand j’abandonne elle devient lionne,
Et me relève avec patience,

Quand j’ai la folie des grandeurs,
Elle me ramène sans me faire mal,
Elle est dans ce monde infernal,
Mon étoile parmi les étoiles.

Oh mon dieu laissez-les moi,
Les beaux yeux de la mama,
Enlevez-moi même tout le reste,
Mais pas la douceur de ses gestes.
Elle m’a porté avant le monde,
Elle me porte encore chaque seconde,
Elle m’emportera avec elle,
Je lui serai toujours fidèle.

Oh mon dieu laissez-les moi,
Les beaux yeux de la mama,
Enlevez-moi même tout le reste,
Mais pas la douceur de ses gestes.
Elle m’a porté avant le monde,
Elle me porte encore chaque seconde,
Elle m’emportera avec elle,
Je lui serai toujours fidèle.

Oh mon dieu laissez-les moi,
Les beaux yeux de la mama,
Enlevez-moi même tout le reste,
Mais pas la douceur de ses gestes.
Elle m’a porté avant le monde,
Elle me porte encore chaque seconde,
Elle m’emportera avec elle,
Je lui serai toujours fidèle.

 

Par |2016-08-31T13:01:22+00:00janvier 8th, 2016|Blog, Musique|0 commentaire

Maurane – Ma révérence

Avant Noël nous avions déjà parlé de la chanteuse Maurane, là voici de nouveau à l’occasion d’un hommage à Véronique Sanson, elle reprend « Ma révérence ». Une magnifique chanson. (plus bas la version originale et complète de Véronique Sanson en 1980 / paroles complètes ici)


Quand je n’aurai plus le temps
De trouver tout le temps du courage
Quand j’aurai mis vingt ans
A voir que tout était mirage
Je tire ma révérence
Ma révérence

Quand mon fils sera grand
Qu’il n’aura plus besoin de moi
Quand les gens qui m’aimaient
Seront emportés loin de moi
Je leur tire ma révérence
Ma révérence

Et ma vie, endormie, doucement
Et mon cœur sera froid
Il ne saura même plus s’affoler
Il ne deviendra

Qu’une pauvre horloge à réparer
Il n’aura plus de flamme
Il n’aura plus de flamme

Quand je n’aurai plus le temps
De trouver tout le temps du courage
Quand j’aurai mis vingt ans.
A voir que tout était mirage
Alors j’entends au fond de moi
Une petite voix qui sourde et gronde
Que je suis seule au monde.

 

Par |2016-08-31T13:00:37+00:00janvier 8th, 2016|Blog, Musique|0 commentaire
Aller en haut