Tintin fait son coming out?
Vu sur Facebook (merci Catherine).
Un autre graffiti surprenant à Bruxelles: Tintin fait son coming out? – lesoir.be
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Un autre graffiti surprenant à Bruxelles: Tintin fait son coming out? – lesoir.be
M. Pokora va sortir un album de reprises des chansons de Claude François. Succès garanti ! Première reprise « Cette année-là », un immense tube de 1976 qui était déjà une reprise d’une chanson américaine « December, 1963 (Oh, What a Night) ».
(Cette année-là, on s’en souvient alors, on y retourne tous ensemble)
Cette année-là
Je chantais pour la première fois
Le public ne me connaissait pas
Quelle année, cette année-là
Cette année-là
Le rock’n’roll venait d’ouvrir ses ailes
Et dans mon coin, je chantais belle, belle, belle
Et le public aimait ça
Déjà, les Beatles étaient quatre garçons dans le vent
Et moi, ma chanson disait marche tout droit
Cette année-là
Quelle joie d’être l’idole des jeunes
Pour des fans qui cassaient les fauteuils
Plus j’y pense et moins j’oublie
J’ai découvert mon premier, mon dernier amour
Le seul, le grand, l’unique et pour toujours le public
Cette année-là
Dans le ciel passait une musique
Un oiseau qu’on appelait Spoutnik
Quelle année, cette année-là
C’est là qu’on a dit adieu à Marilyn au cœur d’or
Tandis que West Side battait tous les records
Cette année-là
Les guitares tiraient sur les violons
On croyait qu’une révolution
Arrivait cette année-là
C’était hier, mais aujourd’hui, rien n’a changé
C’est le même métier qui ce soir recommence encore
Ok, ça c’est pour tout le monde à la maison
On clappe des mains tous ensemble
C’est ça
C’était l’année, c’était l’année soixante deux
C’était l’année, c’était l’année soixante deux
Cette année-là…
Cette année-là…
La version « originale » de Claude François
Nouvel extrait de son album « Roses », « Drapeau blanc », une chanson qui s’adresse à sa fille.
Comment t’écrire que les journées demeurent longues
J’admire le ciel qui s’étend pour faire de l’ombre
Et t’écrire, c’est dire au revoir, et pour de bon
On s’est bercées, enchantées, jetées d’un bord à l’autre
Pour me plaire, pour te plaire je t’ai leurrée de voyages
De rester sage, et d’orées d’or
Et j’abdique, j’abandonne j’en ai brûlé ton drapeau blanc
Tant que les notes résonnent, je jure qu’on peut arrêter le temps
Et ne me laisse jamais seule
Ne me laisse jamais seule
Qu’on ne se laisse plus seules avec le temps
Silence sur silence qu’on gardait lors des confrontations
Qu’on avait qu’on puisait hors de toutes les raisons
Pour s’enfuir loin de ces cloisons
Tandis qu’on se perd dans ces voies invalides
Ces instants qu’on perd à force de construire de vide
D’étreintes qui ne se tiennent que de raison
Et j’abdique, j’abandonne j’en ai brûlé ton drapeau blanc
Tant que les notes résonnent, je jure qu’on peut arrêter le temps
Et ne me laisse jamais seule
Ne me laisse jamais seule
Qu’on ne se laisse plus seules avec le temps
Et j’abdique, j’abandonne j’en ai brûlé ton drapeau blanc
Tant que les notes résonnent, je jure qu’on peut arrêter le temps
Et ne me laisse jamais seule
Ne me laisse jamais seule
Qu’on ne se laisse plus seules avec le temps
De retour avec un nouvel album attendu en novembre, Olivia Ruiz dévoile le premier extrait, « Mon corps mon amour ».
Mon corps s’endort mon amour
J’appelle tes mains à leur parcours
Mon corps se griffe mon amour
Sais-tu le risque qu’il encourt?
Mon corps s’éteint mon amour
Il ne vaut rien sans ton secours
Mon corps est atone mon amour
Et je sens poindre un non retour
Mon corps s’affaiblit mon amour
Je fais appel à ta bravoure
Mon corps s’engourdit mon amour
J’appelle tes sens en dernier recours
Pas un crédo, plus que l’envie
Je baise donc je suis
Ça réveille mon coeur quand il s’est assoupi
Je me fous qu’on me blâme
C’est ainsi que je suis
Rien ne dissocie mes chairs et mon âme
Quand l’un est soigné, l’autre retrouve la flamme
Mon corps expire mon amour
Tes yeux se ferment sur ses atours
Mon corps disparaît mon amour
Je suis finie sans ton concours
Mon corps s’affaiblit mon amour
Je fais appel à ta bravoure
Mon corps se meurt mon amour
Car face à lui, le tien reste sourd
Pas un crédo, plus que l’envie
Je baise, donc je suis
Ça réveille mon coeur quand il s’est assoupi
Je me fous qu’on me blâme
C’est ainsi que je suis
Rien ne dissocie mes chairs et mon âme
Quand l’un est soigné, l’autre retrouve la flamme
Mon corps se console mon amour
Il reprend vie contre un autre velours
Mon corps me guérit mon amour
J’aime quand il vibre sans détours
Sa vie me ranime mon amour
Je cours au dehors revoir le jour
Sa vie me ranime mon amour
Je cours au dehors revoir le jour
Mon corps s’endort mon amour
J’appelle tes mains à leur parcours
Mon corps se griffe mon amour
Sais-tu le risque qu’il encourt?
Mon corps est atone mon amour
Et je sens poindre un non retour
Mon corps s’éteint mon amour
Il ne vaut rien sans ton secours
Mon corps expire mon amour
Et je sens poindre un non retour
Mon corps est atone mon amour
Et je sens poindre un non retour
Un des rappeurs français les plus populaires avec des textes souvent très militants !
Audio + paroles
Pour votre prochain séjour en France, quelques infos sur cette magnifique région !
Ils étaient ce week-end à la Fête de l’Humanité où ils ont entre autres chanté cette reprise du grand classique d’Édith Piaf « Non rien de rien ». Le groupe s’appelle Danakil, c’est un groupe de reggae français. Ci-dessous leur prestation au festival des Francofolies de La Rochelle en 2014. Je suis fan !
Non, je ne regrette rien
Non! Rien de rien …
Non! Je ne regrette rien…
Ni le bien qu’on m’a fait
Ni le mal tout ça m’est bien égal!
Non! Rien de rien …
Non! Je ne regrette rien…
C’est payé, balayé, oublié
Je me fous du passé!
Avec mes souvenirs
J’ai allumé le feu
Mes chagrins, mes plaisirs
Je n’ai plus besoin d’eux!
Balayés les amours
Avec tous leurs trémolos
Balayés pour toujours
Je repars à zéro …
Non! Rien de rien …
Non! Je ne regrette rien …
Ni le bien, qu’on m’a fait
Ni le mal, tout ça m’est bien égal!
Non! Rien de rien …
Non! Je ne regrette rien …
Car ma vie, car mes joies
Aujourd’hui, ça commence avec toi!
Quel joli duo et quel joli texte !
Joyce Jonathan:
Elles sont énervantes les filles d’aujourd’hui
Et malheureusement j’en fais partie
Elles sont trop hésitantes les filles d’aujourd’hui
Elles savent pas ce qu’elles veulent
Elles savent pas dire … oui
Vianney:
Les gens de mon temps s’en lassent
Et de ce temps les gens se lassent
Soudainement tout s’efface
Au moment de la préface
Joyce & Vianney:
On s’rend débiles d’amour intense
On se défile pourtant
Avant d’écrire le jour suivant
Mais volant de ville en ville
Vivons-nous vraiment
Mais volant de ville en ville
Vivons-nous vraiment
Vianney:
Elles sont déroutantes les filles d’aujourd’hui
Un petit tour d’amour et puis s’enfuient
Si elles suivent le vent les filles d’aujourd’hui
Sais-tu que les garçons le font aussi … oui
Joyce Jonathan:
Les gens de mon temps s’embrassent
Avant qu’ils ne se remplacent
Tout se détend, se détache
Au moment de la préface
Joyce & Vianney:
On s’rend débiles d’amour intense
On se défile pourtant
Avant d’écrire le jour suivant
Mais volant de ville en ville
Vivons-nous vraiment
Mais volant de ville en ville
Vivons-nous vraiment
Joyce Jonathan:
Les gens de mon temps s’agacent
Quand d’autres gens les remplacent
Et si on posait nos traces
Au-delà de la préface
On s’rend débiles d’amour intense
On se défile pourtant
Joyce & Vianney:
Avant d’écrire le jour suivant
Mais volant de ville en ville
Vivons-nous vraiment
Mais volant de ville en ville
Vivons-nous vraiment
Mais volant de ville en ville
Vivons-nous vraiment
Mais volant de ville en ville
Vivons-nous vraiment
Joyce Jonathan:
Mais volant de ville en ville
Vivons-nous vraiment
Mais volant de ville en ville
Vivons-nous vraiment
Mais volant de ville en ville
Vivons-nous vraiment
Déjà présenté ici avant les vacances, voici maintenant la version filmée officielle de cet ÉNORME succès de Christophe Maé!
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
J’ai fait l’amour, j’ai fait la manche
J’attendais d’être heureux
J’ai fait des chansons, j’ai fait des enfants
J’ai fait au mieux
J’ai fait la gueule, j’ai fait semblant
On fait comme on peut
J’ai fait le con, c’est vrai ; j’ai fait la fête, ouais !
Je croyais être heureux
Mais, y a tous ces soirs sans potes
Quand personne sonne et ne vient
Ces dimanches soir, dans la flotte
Comme un con dans son bain
Essayant de le noyer, mais il flotte
Ce putain de chagrin
Et ça ira mieux demain
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est là le bonheur, il est là !
Il est là !
Il est là le bonheur, il est là !
Il est là !
J’ai fait la cour, j’ai fait mon cirque
J’attendais d’être heureux
J’ai fait le clown, c’est vrai et j’ai rien fait
Mais ça ne va pas mieux
J’ai fait du bien, j’ai fait des fautes
On fait comme on peut
J’ai fait des folies, j’ai pris des fous rires, ouais
Je croyais être heureux
Mais, y a tous ces soirs de Noël, où l’on sourit poliment
Pour protéger de la vie cruelle
Tous ces rires d’enfants
Et ces chaises vides qui nous rappellent
Ce que la vie nous prend
Alors, je me chante mes notes les plus belles
C’était mieux avant
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est où le bonheur, il est où ?
Il est où ?
Il est là le bonheur, il est là !
Il est là !
Il est là le bonheur, il est là !
Il est là !
C’est une bougie, le bonheur
Ris pas trop fort d’ailleurs
Tu risques de l’éteindre
On l’veut le bonheur, on l’veut, ouais !
Tout le monde veut l’atteindre
Mais il fait pas de bruit, le bonheur, non, il fait pas de bruit
Non, il n’en fait pas
C’est con le bonheur, ouais, car c’est souvent après qu’on sait qu’il était là