À propos de DenisdeFrance

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Paradis – Toi Et Moi

Paradis est un groupe français de musique électronique originaire de Paris. Personnellement j’aime beaucoup. C’est pour danser mais c’est de qualité. Montez le son !


Toi Et Moi

Ça te fait pas ça,
quelque chose en toi,
Quand nos passés se répondent
et qu’on se retrouve juste toi et moi
Mais moi je fonds, je ne me reconnais pas,
quand tu te détaches et que les mots ne viennent pas
Et je sens bien que je m’y prends mal,
que tout ça, c’est pas normal

et que tu voudrais la version sous titrée
Laisse moi voir ce qu’il reste à voir,
Emmène-moi vers le grand soir
Te souffler, si tu veux bien m’écouter

Un petit peu toi et moi,
Je sais plus, je sais pas
Un petit peu toi et moi,

Et toi t’en penses quoi?
J’attendrai là, en bas de chez toi,
jusqu’à ce qu’on voit le monde et que le temps ne compte pas
L’un contre l’autre, le mien sera l’autre,
si nos futurs se confondent et qu’ils se suivent ici et là
Mais je sens bien que je m’y prends mal que tout ça,
c’est pas normal

et que tu voudrais la version sous titrée
Laisse moi voir ce qu’il reste à voir,
Emmène-moi vers le grand soir
Te souffler, si tu veux bien m’écouter

Un petit peu toi et moi,
je sais plus, je sais pas
Un petit peu toi et moi,
Et toi t’en penses quoi?
Un petit peu toi et moi
Un petit peu toi et moi
Et toi t’en penses quoi?
Un petit peu toi et moi
Un petit peu toi et moi
Un petit peu toi et moi

Par |2016-11-11T17:41:09+00:00octobre 14th, 2016|Blog, Musique|0 commentaire

Michel Sardou – Le France

Pour les groupes de conversation avec qui nous avons parlé de Saint-Nazaire et des paquebots, comme promis, voici donc la chanson de Michel Sardou consacrée au paquebot France, fierté française des années 60-70 et vendu en 1976 à une entreprise saoudienne. Une chanson qui, à l’époque, avait fait coulé beaucoup d’encre !

Le France (page wikipédia)

Le France – Michel Sardou (1975)

Quand je pense à  la vieille anglaise
Qu’on appelait le « Queen Mary »,
Echouée si loin de ses falaises
Sur un quai de Californie,

Quand je pense à  la vieille anglaise,
J’envie les épaves englouties,
Longs courriers qui cherchaient un rêve
Et n’ont pas revu leur pays.

Ne m’appelez plus jamais « France ».
La France elle m’a laissé tomber.
Ne m’appelez plus jamais « France ».
C’est ma dernière volonté.

J’étais un bateau gigantesque
Capable de croiser mille ans.
J’étais un géant, j’étais presque
Presqu’aussi fort que l’océan.

J’étais un bateau gigantesque.
J’emportais des milliers d’amants.
J’étais la France. Qu’est-ce qu’il en reste ?
Un corps-mort pour des cormorans.

Ne m’appelez plus jamais « France « .
La France elle m’a laissé tomber.
Ne m’appelez plus jamais « France ».
C’est ma dernière volonté.

Quand je pense à  la vieille anglaise
Qu’on appelait le « Queen Mary »,
Je ne voudrais pas finir comme elle
Sur un quai de Californie.

Que le plus grand navire de guerre
Ait le courage de me couler,
Le cul tourné à  Saint-Nazaire,
Pays breton où je suis né.

Ne m’appelez plus jamais « France ».
La France elle m’a laissé tomber.
Ne m’appelez plus jamais « France ».
C’est ma dernière volonté.

Par |2016-10-14T11:55:34+00:00octobre 14th, 2016|Blog, Culture|0 commentaire

Lynda Lemay – Attrape pas froid

Linda Lemay est une chanteuse québecoise très connue là-bas mais aussi en France. Certains d’entre vous la connaissent déjà grâce à deux chanson étudiées ensemble (« J’veux pas de visite » et aussi « J’ai battu ma fille »). Ces textes racontent toujours une histoire. Elle est actuellement en tournée en Europe avec son nouvel album dont est extrait cette jolie chanson.

Attrape pas froid

Depuis que t’es toute petite
Que ton bagou me charme
Tu aimes faire le pitre
Et nous faire rire aux larmes
Depuis que t’es tout poupon
Que tu dis tout ce que tu penses
Tu cries tes opinions
Sans craindre les conséquences
Je sais que ce serai mal
De te dire de te taire
Parce qu’y a sifflé des balles
Sur notre coin de terre
Plus il tombe de têtes
Plus il faut relever la tienne
Oublie que je m’inquiète
Mais n’oublie pas que je t’aime

Depuis que t’es toute gamine
Que je te fais promettre
De ne pas courber l’échine
De ne pas te soumettre
Mais là y’a mon instinct
Qui crie d’aller te cacher
Aussi creux aussi bien
Que tu peux mon bébé
J’ai une espèce de boule
Coincée dans l’estomac
Un gros côté mère poule
Que je combats crois moi
J’ai juste envie de te dire
De rester bien au chaud
Te dire de te couvrir
Des pieds jusqu’au cerveau

Attrape pas froid
Aux yeux
Garde ton audace
Attrape ta foi
En Dieu
S’il te menace
Attrape pas froid
Aux yeux
Ma belle enfant terrible
Prends ton courage
A deux main libres

Je veux pas que tu maigrisses du cœur
En suivant des régimes de peur
J’ai pas le droit mon amour
De te couver comme une lâche
D’écraser ton humour
D’ébranler ton courage
Je veux pas que tu tournes rond
Du coin de tes sarcasmes
Parce que les religions
Ont pas le sens de la farce
Tu vas te geler les doigts
Si tu les laisses dormir
Loin des crayons de bois


Loin des crayons de cire
Tu vas ter geler les lèvres
Si tu les enfoulardes
N’aies pas peur de la crève
Ne sois pas sur tes gardes
Va jouer là où tu veux
Ma belle enfant fragile
Même si dehors il pleut
Un malheureux grésille
Plus le sol est glissant
Plus faut que tu patines
Plus le monde est terrifiant
Plus faut que tu le dessines

Attrape pas froid
Aux yeux
Garde ton audace
Attrape ta foi
En Dieu
S’il te menace
Attrape pas froid
Aux yeux
Ma belle enfant terrible
Prends ton courage
A deux main libres

Je veux pas que tu maigrisses du cœur
En suivant des régimes de peur
C’est vrai que j’ai juste envie
De te mettre des mitaines
De te foutre l’esprit
Dans un bonnet de laine
Je veux pas qu’on t’intimide
Parce que t’as des idées
Mais ce serait stupide
De te les refouler
C’est pas vrai que c’est interdit
De jouer avec le feutre
Il reste un paradis
Il reste un terrain neutre
Ne joue pas à cache cache
Au creux de mes jupons
Laisse couler ta gouache
Je t’en donne la permission

Attrape pas froid
Aux yeux
Garde ton audace
Attrape ta foi
En Dieu
S’il te menace
Attrape pas froid
Aux yeux
Ma belle enfant terrible
Prends ton courage
A deux main libres

Je veux pas que tu maigrisses du cœur
En suivant des régimes de peur

Par |2016-10-14T09:18:51+00:00octobre 14th, 2016|Blog, Musique|0 commentaire

Café parlant à Zwolle

Un message de Dik, une bonne idée pour votre dimanche après-midi !


N’oubliez pas le Café Parlant dimanche prochain?
Vous êtes les bienvenus dans Café Foyé Odeon, Blijmarkt 25, 16h00 – 18h00.
 
À dimanche!
Dik
P.s. on ne parlera que le français. 
Par |2016-10-08T03:51:21+00:00octobre 8th, 2016|Blog, Culture|0 commentaire

Sapiens: une brève histoire de l’humanité

Nous avons parlé avec certains de mes groupes de ce livre « Sapiens: une brève histoire de l’humanité » de Yuval Noah Harari. D’abord publié en hébreu et en anglais en 2014. Il est sorti aussi en français et en néerlandais (voir le lien ci-dessous). Un livre vraiment passionnant!

Sapiens een kleine geschiedenis van de mensheid

le site internet de l’auteur

Par |2016-10-07T12:19:47+00:00octobre 7th, 2016|Blog, Culture|0 commentaire

BASiLiO – Au calme dans mon tram (featuring Nico Anoy)

Basilio, est un rappeur de Sarcelles (banlieue parisienne) et agent RATP, conducteur de tram. Il vient de sortir un nouveau single très sympa dans lequel il fait un parallèle entre Sarcelles et l’île de Cuba. Un mélange de style réussi. J’aime bien !

(hélas je n’ai pas encore trouvé les paroles)

https://www.youtube.com/watch?v=ql3tMDFug6w

Par |2016-10-07T12:20:29+00:00octobre 6th, 2016|Blog, Musique|0 commentaire

Maissiat – Grand Huit

Très jolie chanson d’une artiste à part, souvent comparée à Françoise Hardy: Maissiat.


 

 

 

Dans un grand château noir matin et soir le grand huit
Je ne vois pas de suite je ne vois pas d’été
De ces touches en ivoire je te dédie cette fuite
Je veux me revenir, je veux te retrouver

Je voudrais tout te dire, je pourrais tout avouer
Je n’ai rien à cacher, je n’ai plus à me fuir
Lasse de me suffire j’ai manqué de volonté
Je me retrouverai pour mieux te revenir
Pour la première fois je m’ennuie c’est insensé
Mais quoi de surprenant pour la première fois j’aime
Tout est fini j’ai fait les ombres s’écarter
Je rêve d’une vie qui serait aussi la tienne

Dans le halo sans voile de cette chambre à coucher
Je me défais de tout j’ai fait vœu de courage
Une photo de toi que je ne peux décoller
Comment me rassembler ? Comment tourner les pages ?
Une part de l’enfance qu’on ne peut effacer
Qui ressemble à la mienne et serait en partance

Une chaine une alliance, une blessure lointaine, une phrase oubliée
Qui me divise en deux et n’en vaut pas la peine

Dans un grand château noir, le grand huit
Je ne vois pas de suite, je ne vois pas d’été
De ces touches en ivoire je te dédie cette fuite
Je veux me revenir, je veux te retrouver
Tu n’as plus à me fuir, tu n’as plus à te méfier
Je reviens d’une guerre entre moi et moi-même
Dépossédée de nous sur une terre endeuillée
Il est pourtant partout indiqué que l’on s’aime
Tous deux vivants je dis la lumière éclatante
Notre amour dans la peau je fais le vœu suprême
Tu es le seul tant, le seul qui m’enchante
Dans chacun de ces mots, entends tu que je t’aime
Tu es le seul tant, le seul qui m’enchante
Il est dans chaque mot signifié que je t’aime

Par |2016-09-30T13:06:24+00:00septembre 30th, 2016|Blog, Musique|0 commentaire
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