Grégoire – C’est quand ?
Attention, gros succès annoncé pour cette nouvelle chanson de Grégoire ! L’album sortira au printemps. Pas de clip vidéo pour le moment, seulement un petit film avec les paroles. Personnellement je suis fan !
Attention, gros succès annoncé pour cette nouvelle chanson de Grégoire ! L’album sortira au printemps. Pas de clip vidéo pour le moment, seulement un petit film avec les paroles. Personnellement je suis fan !
Benjamin Biolay, nommé aux Victoires de la Musique dans la catégorie « Meilleur artiste masculin » remportée par Renaud, s’est consolé en remportant la catégorie album de chanson pour « Palermo Hollywood ». Si vous ne le connaissez pas encore, voici ci-dessous un petit reportage sur cet artiste aujourd’hui incontournable dans la chanson française.
Rencontre avec Benjamin Biolay
Une de mes chansons préférées de Benjamin Biolay, déjà présentée sur le blog il y a quelques années et aussi étudiée en classe avec certains de mes groupes, un très joli texte: Ton héritage.
Si tu aimes les soirs de pluie
Mon enfant, mon enfant
Les ruelles de l’Italie
Si tu pries quand la nuit tombe
Mon enfant, mon enfant
Si tu ne fleuris pas les tombes
Mais chéris les absents
Si tu as peur de la bombe
Et du ciel trop grand
Si tu parles à ton ombre
De temps en temps
Si tu aimes la marée basse
Mon enfant, mon enfant
Le soleil sur la terrasse
Et la lune sous le vent
Si l’on perd souvent ta trace
Dès qu’arrive le printemps
Si la vie te dépasse
Passe, mon enfant
{Refrain:}
Ça n’est pas ta faute
C’est ton héritage
Et ce sera pire encore
Quand tu auras mon âge
Ça n’est pas ta faute
C’est ta chair, ton sang
Il va falloir faire avec
Ou, plutôt sans
Si tu oublies les prénoms
Les adresses et les âges
Mais presque jamais le son
D’une voix, un visage
Si tu aimes ce qui est bon
Si tu vois des mirages
Si tu préfères Paris
Quand vient l’orage
Si tu aimes les goûts amers
Et les hivers tout blancs
Si tu aimes les derniers verres
Et les mystères troublants
Si tu aimes sentir la terre
Et jaillir le volcan
Si tu as peur du vide
Vide, mon enfant
{au Refrain}
Si tu aimes partir avant
Mon enfant, mon enfant
Avant que l’autre s’éveille
Avant qu’il te laisse en plan
Si tu as peur du sommeil
Et que passe le temps
Si tu aimes l’automne vermeil
Merveille, rouge sang
Si tu as peur de la foule
Mais supportes les gens
Si tes idéaux s’écroulent
Le soir de tes vingt ans
Et si tout se déroule
Jamais comme dans tes plans
Si tu n’es qu’une pierre qui roule
Roule, mon enfant
{au Refrain}
Mon enfant
L’un des premiers drapeaux français de l’Histoire !
Source : L’un des premiers drapeaux tricolores français exposé en Angleterre – Le Point
À voir ou revoir sur TV5.org, le documentaire « Christian dior, le couturier et son double ». Disponible jusqu’au 28 février.
Pour les membres et participants aux cours de l’Alliance française de Zwolle. La nouvelle lettre d’informations est en ligne !
Plein de très bonnes prestations lors des dernières Victoires la Musique 2017!
Ci-dessous, nommé dans la catégorie « Album chansons de l’année »: Christophe Maé « Marcel ». Une belle chanson dédiée à son fils.
Moi, je suis comme Marcel
Un éternel enfant
Je lui fais la courte échelle
Pour qu’il traverse le temps
Je lui dirai les quatrelles
Et les droites de Cerdan
Et les chansons de Cabrel
Que je lui chante en l’endormant
Allez, joue gamin, joue gamin
Vas-y, joue dans le vent
Allez, joue gamin, joue gamin
Tu auras bien le temps
Allez, joue gamin, joue gamin
Laisse encore un instant
Sur ma joue ta main, c’est soulageant
Et que le vent t’emmène
Et que le temps t’apprenne
Où que le vent te mène
Oh sois le même
Je t’apprendrai les voyelles
Toi, tu liras les romans De Pagnol, tu sais, Marcel
Tu en as déjà l’accent
Je ferai que ta vie soit belle
Tu fais partie de mon clan
Tu chanteras cette ritournelle
Un jour, peut-être, à tes enfants
Allez, joue gamin, joue gamin
Vas-y, joue dans le vent
Allez, joue gamin, joue gamin
Tu auras bien le temps
Allez, joue gamin, joue gamin
Laisse encore un instant
Sur ma joue ta main, c’est soulageant
Et que le vent t’emmène
Et que le temps t’apprenne
Où que le vent te mène
Oh sois le même
Et que le vent t’emmène
Et que le temps t’apprenne
Où que le vent te mène
Faites qu’il te ramène
La vie est un carrousel
Qui danse, tourne dans le vent
Y a des carrousels, des caravelles
Parfois, tu montes ; parfois, tu descends
La vie est un carrousel
Choisi ta place dedans
Ne choisis pas la plus belle
Mais celle qui te plaît vraiment
La vie est un carrousel
Qui danse, tourne dans le vent
Y a des carrousels, des caravelles
Parfois, tu montes ; parfois, tu descends
La vie est un carrousel
Choisi ta place dedans
Ne choisis pas la plus belle
Mais celle qui te plaît vraiment
Et que le vent t’emmène
Et que le temps t’apprenne
Où que le vent te mène
Oh sois le même
Et que le vent t’emmène
Et que le temps t’apprenne
Où que le vent te mène
Faites qu’il te ramène
CHRISTOPHE MAÉ « Marcel »
Victoires la Musique 2017 suite: nommé dans la catégorie « Révélation scène de l’année », le jeune groupe Minuit. J’adore ! Montez le son, c’est du rock !!
Lumière crue, lumière sombre, flash !
Étrange sensation, flash !
Écrans mauves et néons verts, flash !
Frisson électrique, électricité statique.
Dans le noir j’ai perdu mes repères,
Cours, cours, cours et fonds-toi dans la lumière.
Dans le noir j’ai perdu mes repères,
Cours, cours, cours et fonds-toi dans la lumière.
Et lâche, le flash !
Fumée bleue et néons rouges, flash !
Et si le sang te monte à la tête, flash !
Gélatine embuée autour de ta gorge serrée,
Long corridor, les sens à vif,
Si ton corps dort, sors donc tes griffes.
Dans le noir j’ai perdu mes repères,
Cours, cours, cours et fonds-toi dans la lumière.
Dans le noir j’ai perdu mes repères,
Cours, cours, cours et fonds-toi dans la lumière.
Et lâche, le flash !
Victoires la Musique 2017 suite: une triste mais très jolie chanson de Julien Dorée « Sublime et silence »
Sublime & silence
Autour de moi tu danses
Et moi j’oublie
C’est à toi que je pense,
À ta bouche brûlante
Quand tu souris
Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi
Sublime & silence
Autour de toi tout tremble
Et tout finit
C’est à moi que tu penses
À nos ivresses blanches
Je fuis Paris
Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi
Mais je sais que tu restes
Dans les fleurs que j’te laisse
Après la nuit
Violence et promesse
C’est tout c’que tu détestes
La mort aussi
Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi
Je caresse ton absence
La montagne et l’errance
Et puis l’ennui
La rivière te ressemble
Au moins en apparence
Pourtant tu fuis
Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi
Mais je sais que tu restes
Dans les fleurs que j’te laisse
Après la nuit
Violence et promesse
C’est tout c’que tu détestes
La mort aussi
Le vide aurait suffi
Le vide aurait suffi
Mais je sais que tu restes
Dans les fleurs que j’te laisse
Après la nuit
Violence et promesse
C’est tout c’que tu détestes
La mort aussi
Mais je sais que tu restes
Mais je sais que tu restes
Sublime et silence
Aussi aux Victoires la Musique 2017, le prix de la meilleure chanson de l’année, « Je m’en vais » de Vianney.
J’ai troqué mes cliques et mes claques
Contre des cloques et des flaques
Mon sac à dos pour oublier
Qu’avant c’est toi qui me pesais
Ce qui m’emmène, ce qui m’entraîne
C’est ma peine, ma peine plus que la haine
Oh ma route, oh ma plaine
Dieu que je l’aime
Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
Où tu es belle et moi la bête
Et la belle n’est jamais sage
Quand tu diras que c’est ma faute
Que je n’ai jamais su t’aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m’en vais
Et ce qui perle sur mon front
Gouttes de pluie, gouttes de froid
Donne des ailes, donne dont
L’envie de m’éloigner de toi
Et mes larmes, et mes armes
Sont ma peine, ma peine plus que la haine
Et mes larmes, mes larmes
Dieu que j’ai mal
Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
Où tu es belle et moi la bête
Et la belle n’est jamais sage
Quand tu diras que c’est ma faute
Que je n’ai jamais su t’aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m’en vais
Je m’en vais
Je m’en vais
Et tournent, et tournent dans ma tête
Les images du long métrage
OU tu es belle et moi la bête
Et la belle n’est jamais sage
Quand tu diras que c’est ma faute
Que je n’ai jamais su t’aimer
Au diable toi et tes apôtres
Je m’en vais
Je m’en vais