À propos de DenisdeFrance

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Bal de Bamako – Mathieu Chedid, Oxmo Puccino

Une super chanson de Mathieu Chedid superbement accompagné du rappeur Oxmo Puccino. Un texte et un clip plein d’humour !

(refrain)
Au bal de Bamako
Bal de Bamako
Au bal de Bamako
Je t’ai dans la peau

Comme un vertige sur la ville
Moi l’homme hibou blanc imbécile
Dans un boubou pas très agile
Plutôt fragile
J’ai comme les doigts dans la prise
Te voir danser m’électrise
Peut être même que ça m’érotise
Que j’idéalise
Malice au Mali des merveilles
Le Mali dieu créa la flamme
Le Mali danse dans mon âme

Honni soit qui mal y pense
Qu’importe la couleur de ta peau
Béni soit qui au Mali danse
Au son des bals de Bamako

(refrain)

On plane à Bamako en bateau c’est moi le capitaine
Tu danses pas, sois le croquemitaine
La voix arrive par la droite
Il reste une chance et sois pas maladroite
Fais le décalement ouais carrément
Vire-le, qu’on le fasse légalement
Si t’y penses c’est que c’est possible

Aujourd’hui c’est dimanche, demain aussi
Respire sans morosité
Douce ou ???
Si quelqu’un appelle
Dis-lui qu’on se tire à un bal réel
Ton bassin fait l’hélicoptère

Honni soit qui mal y pense
Qu’importe la couleur de ta peau
Béni soit qui au Mali danse
Au son des bals de Bamako

(refrain)

Tu, tu, tu danses
Tes pieds, tes pieds ils bougent tout seuls
Parce que c’est l’amour qui fait ça
Tu entends ?
Tu, tu entends cette guitare ?

(refrain)

Bal de Bamako

Par |2017-03-17T16:02:42+00:00mars 17th, 2017|Blog, Humour|0 commentaire

Pierre Perret – Le Zizi

Nous avons parlé de cette chanson de Pierre Perret cette semaine. Un scandale à l’époque: le zizi (en néerlandais: het piemeltje).

Afin de nous ôter nos complexes
Ô gué, ô gué
On nous donne des cours sur le sexe
Ô gué, ô gué
On apprend la vie secrète
Des angoissés d’ la bébête
Ou de ceux qui trouvent dégourdi
De montrer leur bigoudi
Une institutrice très sympathique
Nous en explique toutes la mécanique
Elle dit nous allons planter le décor
Ô gué, ô gué
De l’appareil masculin d’abord
Ô gué, ô gué
Elle s’approche du tableau noir
On va p’ têt’ enfin savoir
Quel est ce monstre sacré qui a donc tant de pouvoir
Et sans hésiter elle nous dessine
Le p’tit chose et les deux orphelines
Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi
Le vrai, le faux
Le laid, le beau
Le dur, le mou
Qui a un grand cou
Le gros touffu
Le p’tit joufflu
Le grand ridé
Le mont pelé
Tout tout tout tout
Je vous dirai tout sur le zizi
Des zizis y’en a d’toutes les couleurs
Ô gué, ô gué
Des boulangers jusqu’aux ramoneurs
Ô gué, ô gué
J’en ai vu des impusilfs
Qui grimpaient dans les calcifs
J’en ai vu de moins voraces
Tomber dans les godasses
Çui d’un mécanicien en détresse
Qui a jamais pu réunir ses pièces
Y a le zizi tout propre du blanchisseur
Ô gué, ô gué
Celui qui amidonne la main de ma sœur
Ô gué, ô gué
J’ai vu le zizi d’un curé
Avec son p’tit chapeau violet
Qui juste en pleine ascension
Fait la génuflexion
Un lever de zizi au crépuscule
Et celui du pape qui fait des bulles
Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi
Le vrai, le faux
Le laid, le beau
Le dur, le mou
Qui a un grand cou
Le gros touffu
Le p’tit joufflu
Le grand ridé
Le mont pelé
Tout tout tout tout
Je vous dirai tout sur le zizi
Le zizi musclé chez le routier
Ô gué, ô gué
Se reconnaît à son gros col roulé
Ô gué, ô gué
J’ai vu le zizi affolant
D’un trapéziste ambulant
Qui apprenait la barre fixe à ses petits-enfants
L’alpiniste et son beau pic à glace
Magnifique au-dessus des Grandes Jorasses
J’ai vu le grand zizi d’un p’tit bedeau
Ô gué, ô gué
Qui sonne l’angélus les mains dans le dos
Ô gué, ô gué
Celui d’un marin breton
Qui avait perdu ses pompons
Et celui d’un juif cossu
Qui mesurait le tissu
Celui d’un infirmier d’ambulance
Qui clignotait dans les cas d’urgence
Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi
Le vrai, le faux
Le laid, le beau
Le dur, le mou
Qui a un grand cou
Le gros touffu
Le p’tit joufflu
Le grand ridé
Le mont pelé
Tout tout tout tout
Je vous dirai tout sur le zizi
J’ai vu le p’tit zizi des aristos
Ô gué, ô gué
Qui est toujours au bord de l’embargo
Ô gué, ô gué
J’ai roulé de la pâtisserie
Avec celui de mon mari
Avec celui d’un Chinois
J’ai même cassé des noix
Avec un zizi aux mœurs incertaines
J’ai même fait des ris de veau à l’ancienne
Tout tout tout
Vous saurez tout sur le zizi
Le vrai, le faux
Le laid, le beau
Le dur, le mou
Qui a un grand cou
Le gros touffu
Le p’tit joufflu
Le grand ridé
Le mont pelé
Tout tout tout tout
Je vous dirai tout sur le zizi
Par |2017-03-17T13:22:15+00:00mars 17th, 2017|Blog, Humour, Musique|0 commentaire

Grégoire – « C’est quand ? »

Déjà présenté ici, le clip vient de sortir, extrait du nouvel album de Grégoire. Je suis fan!

C’est quand qu’tu viens ?
C’est quand qu’tu passes ?
C’est quand qu’tu m’prends par la main
Et qu’tu m’dis : « Allez viens, on s’casse. »
C’est quand la douceur de tes bras chauds
C’est quand la chaleur, la chaleur de tes lèvres sur ma peau ?
C’est quand qu’t’arrives ?
Dans combien d’temps ?
C’est quand qu’t’arrives
Et qu’tu m’dis, « Allez viens !
Viens maintenant c’est l’moment ! »
Dis moi c’est quand ?
C’est quand ?
Quand ? Quand ? Quand ? Quand ?

C’est quand qu’tu m’emmènes ?
C’est quand qu’ça commence ?
Qu’ça s’finit cette rengaine ?
Cette rengaine imbécile de mon coeur en vacances ?
C’est quand qu’tu m’emmènes ?
C’est quand le départ ?
C’est quand qu’on s’promène ?
Qu’on s’promène sur une plage à la tombée du soir ?
C’est quand qu’tu t’décides ?
C’est quand que tu oses ?
C’est quand le sublime ?
Nos deux corps enlacés sure des pétales de roses ?
C’est quand qu’j’peux y croire ?
C’est quand qu’tu m’enlèves ?

C’est quand notre histoire ?

Dis c’est quand l’conte de fées dont on parle dans les rêves ?

C’est quand qu’tu m’embrasses ?
C’est quand le désir ?
C’est quand qu’on se trace
Sur des routes inconnues à bouffer du plaisir ?
C’est quand qu’tu m’appelles ?
C’est quand qu’t’hésites plus ?
C’est quand l’éternel ?
Même si on s’plante pas grave ! j’suis déjà perdu…
C’est quand qu’tu m’emmènes ?
C’est quand le bonheur ?
C’est quand que tu m’aimes ?
C’est quand ?
C’est quand que tu m’aimes ?

C’est quand qu’tu viens ?
C’est quand qu’tu passes ?
C’est quand qu’tu m’prends par la main
Et qu’tu m’dis : « Allez viens on s’casse… »
C’est quand la douceur de tes bras chauds
C’est quand la chaleur, la chaleur ?
La chaleur de tes lèvres sur ma peau ?
C’est quand qu’t’arrives ?
C’est quand que tu m’aimes ?
C’est quand que tu m’aimes ?
C’est quand que tu m’aimes ?
C’est quand que tu m’aimes ?

Par |2017-03-12T19:21:28+00:00mars 12th, 2017|Blog, Musique|0 commentaire

Le gorille – Georges Brassens (1952)

Pour les absents de cette semaine, « Le gorille » étudié avec les groupes de conversation.

Le gorille – Georges Brassens (1952)

C’est à travers de larges grilles,
Que les femelles du canton,
Contemplaient un puissant gorille,
Sans souci du qu’en-dira-t-on.
Avec impudeur, ces commères
Lorgnaient même un endroit précis
Que, rigoureusement ma mère
M’a défendu de nommer ici…
Gare au gorille !…

Tout à coup la prison bien close
Où vivait le bel animal
S’ouvre, on n’sait pourquoi. Je suppose
Qu’on avait du la fermer mal.
Le singe, en sortant de sa cage
Dit « C’est aujourd’hui que j’le perds ! »
Il parlait de son pucelage,
Vous aviez deviné, j’espère !
Gare au gorille !…

L’patron de la ménagerie
Criait, éperdu : « Nom de nom !
C’est assommant car le gorille
N’a jamais connu de guenon ! »
Dès que la féminine engeance
Sut que le singe était puceau,
Au lieu de profiter de la chance,
Elle fit feu des deux fuseaux !
Gare au gorille !…

Celles là même qui, naguère,
Le couvaient d’un œil décidé,
Fuirent, prouvant qu’elles n’avaient guère
De la suite dans les idées ;
D’autant plus vaine était leur crainte,
Que le gorille est un luron
Supérieur à l’homme dans l’étreinte,
Bien des femmes vous le diront !
Gare au gorille !…

Tout le monde se précipite
Hors d’atteinte du singe en rut,
Sauf une vielle décrépite
Et un jeune juge en bois brut;
Voyant que toutes se dérobent,
Le quadrumane accéléra
Son dandinement vers les robes
De la vieille et du magistrat !
Gare au gorille !…

« Bah ! soupirait la centenaire,
Qu’on puisse encore me désirer,
Ce serait extraordinaire,
Et, pour tout dire, inespéré ! » ;
Le juge pensait, impassible,
« Qu’on me prenne pour une guenon,
C’est complètement impossible… »
La suite lui prouva que non !
Gare au gorille !…

Supposez que l’un de vous puisse être,
Comme le singe, obligé de
Violer un juge ou une ancêtre,
Lequel choisirait-il des deux ?
Qu’une alternative pareille,
Un de ces quatres jours, m’échoie,
C’est, j’en suis convaincu, la vieille
Qui sera l’objet de mon choix !
Gare au gorille !…

Mais, par malheur, si le gorille
Aux jeux de l’amour vaut son prix,
On sait qu’en revanche il ne brille
Ni par le goût, ni par l’esprit.
Lors, au lieu d’opter pour la vieille,
Comme l’aurait fait n’importe qui,
Il saisit le juge à l’oreille
Et l’entraîna dans un maquis !
Gare au gorille !…

La suite serait délectable,
Malheureusement, je ne peux
Pas la dire, et c’est regrettable,
Ça nous aurait fait rire un peu ;
Car le juge, au moment suprême,
Criait : « Maman ! », pleurait beaucoup,
Comme l’homme auquel, le jour même,
Il avait fait trancher le cou.
Gare au gorille !…

Par |2017-03-10T12:29:05+00:00mars 10th, 2017|Blog, Musique|0 commentaire

MC Solar – Caroline

Un peu de nostalgie. 1994 – MC Solar interprète « Caroline » à Taratata. Une chanson devenue culte.


J’étais cool, assis sur un banc, c’était au printemps
Ils cueillent une marguerite, ce sont deux amants
Overdose de douceur, ils jouent comme des enfants
Je t’aime un peu, beaucoup, à la folie, passionnément
Mais à la suite d’une douloureuse déception sentimentale
D’humeur chaleureuse je devenais brutal
La haine d’un être n’est pas dans nos prérogatives
Tchernobyl, tcherno-débile ! jalousie radio-active
Caroline était une amie, une superbe fille
Je repense à elle, à nous, à nos cornets vanille
A sa boulimie de fraises, de framboises, de myrtilles
A ses délires futiles, à son style pacotille

Je suis l’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur, Caroline

Comme le trèfle à quatre feuilles, je cherche votre bonheur
Je suis l’homme qui tombe à pic, pour prendre ton cœur
Il faut se tenir à carreau, caro ce message vient du cœur
Une pyramide de baisers, une tempête d’amitié
Une vague de caresse, un cyclone de douceur
Un océan de pensées, Caroline je t’ai offert un building de tendresse
J’ai eu une peur bleue, je suis poursuivi par l’armée rouge
Pour toi j’ai pris des billets verts, il a fallu qu’je bouge
Pyromane de ton cœur, canadair de tes frayeurs
Je t’ai offert une symphonie de couleurs
Elle est partie, maso
Avec un vieux macho
Qu’elle avait rencontré dans une station de métro
Quand je les vois main dans la main fumant le même mégot
Je sens un pincement dans son cœur, mais elle n’ose dire un mot

Je suis l’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur, Caroline

Claude MC prend le microphone genre love story ragga muffin
Pour te parler d’une amie qu’on appelle Caroline
Elle était ma dame, elle était ma came
Elle était ma vitamine
Elle était ma drogue, ma dope, ma coke, mon crack
Mon amphétamine, Caroline

Je repense à elle, femme actuelle, 20 ans, jeune et jolie
Remets donc le film à l’envers, magnéto de la vie
Pour elle, faut-il l’admettre, des larmes ont coulé
Hémorragie oculaire, vive notre amitié
Du passé, du présent, je l’espère du futur
Je suis passé pour être présent dans ton futur
La vie est un jeu d’cartes
Paris un casino
Je joue les rouges cœur, Caro

Je suis l’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur
L’as de trèfle qui pique ton cœur, Caroline

Par |2017-02-25T08:58:19+00:00février 25th, 2017|Blog, Musique|0 commentaire
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